Cette   ''Coalition'' qui me semble infiltrée par des libéraux jouant aux   communistes pour venir ridiculiser et court circuiter  toutes actions   étudiantes: est un leurre, ils ne sont même pas pour la gratuité et ils   en parlenrt comme si cela était une utopie alors que c'est un besoin,  un  droit, un grand principe de vie et une grande Loi Économique car LA   GRATUITÉ C'EST CE QUI RAPPROTE À TOUS; puisque des gerns ibnstruits et   heureux rapportent à tous les niveaux et désengorgent les hôpitaux et  au  final cela fait faire des économies incroyables.....
La CLASSE fait tout sauf parler de la gratuité scolaire. Elle s'associe à des mouvements communistes et anarchistes», .....
''La   Classe'' chiffre ''la gratuité scolaire'' à 410 millions $ MAIS elle   omet de dire que la gratuité rapporte finalement 100 fois plus.....
La   recherche universitaire a été surfinancée au Québec par rapport au    reste du Canada, en particulier la recherche commercialisable qui    profite aux entreprises privées. 26,2% du budget des universités    québécoises est destiné à la recherche, alors que cette proportion est    de 21,5% dans le reste du Canada. Réduire de moitié cet écart nous    permettrait d’investir 142M$ en enseignement.
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divers
                    Publié dans Mouvements étudiants à 1 mars 2012 |               Laisser un Commentaire »
Publié dans Mouvements étudiants à 1 mars 2012 |               Laisser un Commentaire »
La CLASSE, c’est-à-dire la Coalition large de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ), est le principal lobby marxiste qui mène la grève contre la hausse des frais universitaires    actuellement. Les diverses démonstrations des groupusculaires    tentaculaires officiellement membres de la CLASSE (par l’entremise de    l’ASSÉ ou non) ne cachent pas le socialisme dogmatique de leurs    militants (drapeaux rouges sur les lignes de piquetage, chandails de l’assassin Che Guevara,    etc.). Mais parfois certaines des organisations membres de la CLASSE    affichent encore plus ouvertement leur fanatisme. Par exemple, cette    déléguée de l’Association des étudiants du Collège Lionel-Groulx (AGEECLG) au Congrès de l’ASSÉ au Cégep de Sherbrooke tenu les 14-15 novembre 2009 (glané sur Facebook) :           
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Les   théoriciens monarchomaques calvinistes du XVIe siècle étaient    favorables à un gouvernement civil de type collégial à composantes    électives. Leur pensée théocentrique, qui articule monarchie    contractuelle, démocratie parlementaire, constitutionnalisme, autorité    divine et droit de résistance à la tyrannie, est un fondement méconnu    des principes politiques modernes. Cet article met en lumière la  féconde   réflexion de [...]
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LA  GRATUITÉ  n'est pas un voeu ni un idéal MAIS UN DROIT COLLECTIF, UNE  ÉVOLUTION,  UNE NÉCESSITÉ, UNE PRIORITÉ..... puisqu'elle élimine la  pauvreté et de  nombreux maux qui y sont rattachés.
Savoir calculer c’est composer avec tous les humains autour de nous…. et non sans eux
«   Ça toujours été grâce au Partage et la Gratuité que les sociétés et  les  peuples ont survécus : et ce, en dépits des guerres, de la haine et  de  la survie imposées à tous. C’est encore grâce à l’Entraide et au  Partage  que les Populations de la Terre survivent à cette Économie qui  pousse  les pays à se concurrence au lieu de s’entraider, et nous  empêche de  vivre fraternellement ». Mme Marie-Anne Villeneuve, 82 ans.
Il   n’y a rien de plus scientifiques et de plus réalistes que le Partage  du  Bien Commun, l’Égalité Monétaire, et les Valeurs Fraternelles : car  ils  permettent à tous de profiter de tout! Il n’y a rien de plus  économique  ni de plus rentable, et cela à tous les niveaux! Le bonheur  d’une  personne est la plus grande richesse et réussite sociale qui  soit!
Brandissez  le spectre de LA GRATUITÉ SCOLAIRE ou mieux  encore UN REVENU POUR  ÉTUDIER et vous allez les voir devenir gentils et  ils ne couperont plus  jamais dans vos acquis actuels ni n’augmenteront  vos frais afférents et  autres.
La quantité d’emplois ne  compte plus pour faire  fonctionner un pays : mais la mécanisation,  l’automatisation,  l’informatique… et ils produisent 1000 fois plus que  le travail  manuel….. telles sont les nouvelles réalités de la  Production des Pays !  Alors cessons de penser en prolétaires qui ne  croient qu’il n’y a que  le travail dans la vie! Et oui... Londres en  1819, déjà, la quantité  d’emplois ne comptait pas pour faire  fonctionner l’Angleterre puisqu’ils  vivaient des autres pays qu’ils  avaient conquis ! Et pourtant, le prix  des loyers et de la vie ne  diminuaient pas. Les gens y étaient rien mais  les richesses tout : et  c’est encore cela !
“Tout ce qui est vraiment grand et
inspiré n'a été réalisé que par des
individus travaillant librement”,
Albert Einstein
[Censures 2.gif]
NOUS ÉTUDIONS POUR NOTRE SOCIÉTÉ
NOUS ÉTUDIONS POUR NOTRE SOCIÉTÉ
Un             salarié de 50 000 $ par an doit produire 3 fois son salaire     pour      être    rentable à l’Entreprise. En 20 années il aura  produit    pour 3      millions  $   (3 millions $ de profits en 20 ans -   1million   en   salaires=    2  millions  en  profits versus 200 000 $   pour le   rendre au   diplôme     universitaire.  Donc,  un diplômé   universitaire   aura coûté   environ 200     000 $ à former  par  l’État   mais  rapportera  au moins 2   millions $ sur 20 années. 
Ainsi,
L A 
G R A T U I T É
R A P P O R T E
1 0
F O I S
P L U S !
L’homme   qui a 3 enfants, dont l’un agressif et compétitif, l’autre pacifique  et  colleux (paresseux) et la fille rebelle et marginale : et bien le  père  s’en occupera également, leur dira de manger à leurs faims sans se   préoccuper de savoir lesquels de ses enfants ‘’méritent’’ plus d’être   mieux habillés et un meilleur lit! L’État doit agir de même envers nous   tous sans exception. Revendiquez toujours le maximum pour les êtres   humains! ..... L'ÉTAT aussi DOIT AGIR EN ''BONS PARENTS''
Si on sait Partager, même au cœur du Désert ou en Enfer on ne manquera de rien.
Même   au cœur de l’abondance comme ici dans notre région, on manquera de  tout  : si on ne sait pas Partager, si on se concurrence les uns les  autres  au lieu de nous unir sous un thème tel «Le Mieux-Être de tous» !
N’oubliez pas «Dans le combat, il y a toujours un perdant : tandis que dans le Partage, tous y gagnent» !
«   La valeur est autre chose qu’une proportion, qu’un échange monétaire.   La valeur c’est ce qui nous sert à tous, ce qui nourrit bien, ce qui   amène du confort à tous ». La valeur fait de la qualité de vie un droit!   Ce n’est pas de savoir qui mérite plus ou a fait plus d’efforts ou   encore est plus habile à se conformer et à s’enrichir qu’il nous faille   considérer: mais d’abord de pourvoir aux droits de tous à une vie   décente. Les Valeurs Fraternelles établissent naturellement l’Ordre. Ne   pas SAVOIR PARTAGER nous jette tous les uns contre les autres dans une   vie de combat et de survie!
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 Transparentes les associations étudiantes? La FEUQ refuse de dévoiler ses états financiers (Cyberpresse) L’exécutif de la FECQ avait participé au pillage
L’exécutif de la FECQ avait participé au pillage à Montréal en mai 2010
La grève étudiante au Québec est l’occasion de rappeler le cas des dirigeants de la 
Fédération étudiante collégiale du Québec    (FECQ) qui s’étaient faits prendre en flagrant délit de vol à   l’étalage  le mercredi 12 mai 2010 à Montréal après la victoire du   Tricolore sur  les Penguins de Pittsburgh. Quelques jours suivants, un   internaute a  reconnu sur un blogue droitiste, dans les images de   TVA/LCN du pillage  de l’émeute, Sonia Palato, la 
Coordonnatrice aux affaires étudiantes de la FECQ pour l’année scolaire 2009-2010. La FECQ regroupe les « syndicats » socialistes de 
18 cégeps à travers le Québec. Sonia Palato était employée de la FECQ depuis juin 2008.

Dans le 
vidéo de la scène compromettante,    on voit clairement Sonia Palato se débattre avec les étiquettes des    chandails volés (en esseyant de les retirer ou en cherchant la bonne    grandeur), puis à l’instant où elle aperçoit la caméra soudainement    pointée sur elle, elle laisse tomber le chandail et se dérobe comme si    de rien n’était. L’affaire a été reprise par 
24h-Montréal de l’Agence QMI et par TVA au téléjournal :

Xavier Lefebvre-Boucher, alors 
Président de la FECQ
,   a  relativisé le crime en disant « Elle s’est retrouvée avec le   chandail  dans les mains… à première vue, il traîne dans la rue, elle   l’a ramassé  et l’a laissé tomber plus tard. Je ne veux pas statuer sur   ses  intentions à ce niveau-là. »

En   vérité, voici notre brave Xavier  Lefebvre-Boucher, rue   Sainte-Catherine, se cachant derrière sa  subalterne quand il a vu la   caméra s’approcher. La photo du bas est  extraite du reportage de LCN,   où il rate son « damage control » :
Dans l’extrait vidéo, le   jeune homme au coton-ouaté qui se tient à côté  de mademoiselle Palato   avec un chandail volé dans les mains se nomme  Simon Turbide, le 
Responsable aux affaires internes de la FECQ pour l’année scolaire 2010-2011 :

L’autre gars avec des lunettes à gauche de mademoiselle Palato, Alexandre Goyer, est lui aussi un ancien 
Responsable aux affaires internes de la FECQ et est désormais un militant actif du PQ :
Seule Sonia Palato semble avoir été mise en accusation, 
elle a plaidé non-coupable et les médias n’ont pas rapportés la suite. Ça fait penser à l’ancienne présidente de la 
Centrale des syndicats du Québec (CSQ, à l’époque CEQ), Lorraine Pagé, qui avait démissionné parce qu’elle avait volé une paire de gants dans un magasin.
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  ARTICLE TIRÉ DU JOURNAL ''L'AUT'JOURNAL''
 The Prince Arthur Herald, le journal « étudiant » qui combat le mouvement étudiant
           06 mars 2012       
             Réjean Parent   
 L’auteur est président de la CSQ
L’auteur est président de la CSQ
 Alors         que certains étudiants membres de l’exécutif du mouvement pour    la       hausse des droits de scolarité ont dû se défendre dans les   médias  de       leurs liens avec le Parti libéral du Québec (PLQ),   d’autres    connivences     entretenues par ces mêmes leaders sont encore plus inquiétantes et soulèvent plusieurs questions.
 En         effet, lorsqu’on prend le temps d’examiner le dossier des  membres      de    l’exécutif du Mouvement des étudiants socialement   responsables  du       Québec (MESRQ), on découvre rapidement que   l’ombre la plus  sombre   qui se     profile derrière l’organisme n’est   pas juste celle  du PLQ,   mais  son pion qu'est  le du mouvement   libertarien et de ses  principaux   porte-voix  au    Québec, l’Institut   économique de Montréal  (IEDM) et le   Réseau     Liberté-Québec  (RLQ).
 
Le Mouvement des étudiants sous l’influence d’un journal de droite libertarienne
 Ce         n’est d’ailleurs pas le fruit du hasard si l’on retrouve sur la       page    web du MESRQ un lien menant directement au site internet  d’un       journal   ultraconservateur, The Prince Arthur Herald,   fondé à      l’hiver   2011 par des étudiants de l’Université McGill.  Le  journal  a    été  créé   essentiellement pour contrer la supposée   influence     omniprésente de  la   gauche dans les journaux étudiants   distribués sur     les campus à  travers   le pays. Ses dirigeants se   vantent d’ailleurs    de  publier « le  plus   grand journal de droite   au Canada ».
 Les liens étroits entre The Prince Arthur Herald et         le MESRQ  sont évidents. Il suffit d’ailleurs de constater que    deux     des  principaux  porte-parole des étudiants pour la hausse  font    partie    de  l’équipe du  journal. C’est le cas du représentant   média   du  MESRQ,    Jean-François  Trudelle (celui-là même qui a été    identifié   comme un    militant du PLQ),  qui occupe également la    fonction de   rédacteur en chef    de la section  francophone du journal    The Prince Arthur Herald.      Et il n’est pas  seul  puisqu’une   autre figure bien en vue du MESRQ,      Arielle Grenier,  est    responsable de la section Culture et société  au     journal. Sur  sa   page  Facebook, l’étudiante s’affiche d’ailleurs  de     pensée    libertarienne.
 
Un appui non spontané à la hausse
 L’influence du journal The Prince Arthur Herald sur les leaders          du mouvement étudiant pour la hausse des droits de scolarité se          confirme lorsqu’on se donne la peine de visiter leurs pages    Facebook       qui, pour plusieurs, présentent un lien direct avec le    journal de   droite     libertarienne. Il ne fait donc aucun doute que    l’émergence   d’un     mouvement pour la hausse des droits de scolarité    n’est   peut-être pas     aussi spontanée qu’on pourrait le croire   alors  que ses   principaux     initiateurs sont nuls autres que les   étudiants    libertariens de McGill.
 
L’IEDM aux premières loges
 Cependant,         l’étude des jeux d’influence qui ont mené au MESRQ ne  s’arrête    pas     là.  Cela devient encore plus intéressant lorsqu’on lève un   peu    plus  le    voile sur ceux qui se trouvent derrière The Prince Arthur Herald.          Et qui voit-on ? Rien de moins que certains des principaux          protagonistes de l’Institut économique de Montréal et du Réseau          Liberté-Québec. En effet, parmi les neuf membres qui siègent au  Conseil         des gouverneurs du journal, on retrouve Adrien Pouliot,    cofondateur    de    l’IEDM et président du conseil de cet organisme    pendant neuf  ans.   Un    autre membre est Jasmin Guénette, directeur    des affaires   publiques  à    l’IEDM de 2002 à 2008. Le trio est    complété par Vincent   Geloso,     ex-économiste à l’IEDM où il est    toujours chercheur  associé.
 
Un Réseau Liberté-Québec qui n’est pas en reste
 L’influence libertarienne, qui imprègne les écrits du Prince Arthur Herald,          est également entretenue par deux autres membres du Conseil des          gouverneurs, Éric Duhaime (également un ancien de l’IEDM) et  Roy     Eappen,     tous deux cofondateurs du Réseau Liberté-Québec,  lui-même     une   créature   de l’IEDM. Il est d’ailleurs plutôt  ironique de  voir    Éric   Duhaime  siéger  au Conseil des gouverneurs  d’un journal  si dédié    à la   cause de  la  hausse des droits de  scolarité alors  que  lui-même   prétend,   à qui  veut  l’entendre, s’y  opposer. C’est  du  moins ce  qu’il  a  affirmé  à  l’émission  Tout le  monde en parle   devant des  centaines  de  milliers  de    téléspectateurs. À croire que   le volubile  et  démagogue  porte-parole   du   Réseau Liberté-Québec ne   réussit pas à   convaincre  grand  monde dans  son   propre entourage…  ou  qu’il est   beaucoup plus   discret à combattre  la   hausse qu’il le   prétend.
 
Une pieuvre qui étend ses tentacules sur la société québécoise
 Au moment du lancement du Prince Arthur Herald         en 2011, son  directeur en chef des communications, Marc-Olivier         Fortin, a reconnu en  entrevue que le journal bénéficiait de   l’appui   de     gens d’affaires  influents, sans apporter plus de   précisions.  Il y  a     fort à parier que  ces personnalités anonymes   sont les mêmes  qui      financent généreusement,  année après année,   l’IEDM pour faire   avancer     leur idéologie  libertarienne et reculer   d’autant les  droits  sociaux  de    la majorité.
 Après avoir   donné naissance  au  Réseau    Liberté-Québec  et à la Ligue  des   contribuables du  Québec, la  pieuvre    de l’IEDM étend  de nouveaux    tentacules sur la  société  québécoise à    travers un prétendu  journal    étudiant «  indépendant »  et un mouvement    étudiant « supposément     spontané »  dont  l’inspiration qui leur a  permis   de naître est   venue de    beaucoup  plus haut que leurs simples    militants.
 
Un « mouvement contre les jeunes »
 Tout un paradoxe pour Éric Duhaime, qui vient de publier L’État contre les jeunes,          de voir le RLQ et l’IEDM cautionner indirectement un «  mouvement         étudiant » dont les revendications risquent de réduire     l’accessibilité      des jeunes aux études universitaires. Bref, un «     mouvement contre  les     jeunes »…
 À suivre bientôt sur ce blogue… d’autres liens révélateurs.
 
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OMBUDSMANS DE RADIO-CANADA NE NOUS RÉPONDENT JAMAIS.....